foron le 25 septembre

Un beau dimanche est annoncé, plein de motivation de toute part en plus.

Au foron ça a été un peu raté pour la météo, mais c'est pas grave

la motivation est restée intacte, et ça penche suffisamment pour grimper sous la pluie.

Note : Le temps (celui de chronos) n'a pas suffit pour que cet article soit écrit dans les 24h suivant le retour des troupes, donc les noms de voies sont complètement oubliés,

tant pis pour cette fois.

Thibaut à la chauffe dans le 6c classique du site.

De même avec une vue un peu plus large sur le paysage,

le cadre est dément encore une fois.

Gabriel dans un 7b+ bien rési, et assez majeur.

Merlin dans le 7a ou 7a+ d'a côté,

un début pas trop dur et un final un peu plus péchu.

Quelques photos de Pierre dans le même 7b+.

Pour finir deux photos de Thibaut dans un 7a ou 7a+

bien plus près de la fin que du début de la séance.

En conclusion, et oui parce qu'il faut toujours une conclusion,

Thibaut a bien mérité d'avoir la première et la dernière photo de l'article

à la vue du nombre de voies qu'il a faites dans la journée.

Et Pierre à bien mérité toutes ces photos dans le 7b+ puisqu'il nous a gratifié d'un beau combat a vue, bien que cette tentative ait finalement échouée, il a fait au premier ess.

Et puis tant pis pour les autres, mais le fait qu'il n'y ait pas beaucoup de photos réside surtout dans le fait que les photos prisent d'eux étaient moins bien.

22 septembre, jeudi aprem au col de la Colombière

Les jeudis aprem sont libérés à polytech, quelques membre de la secte interne à l'école,

en la compagnie de quelques grimpeurs de l'école non embobinés se sont donc retrouvés

à grimpés ensemble dans le beau site de la colombière.

C'est surtout beau par le cadre, mais le caillou n'est pas à négliger dans un site d'escalade,

et celui la est dément! Du calcaire bien compact comme on l'aime.

Première photo pour donner une idée du cadre.

Thibaut dans le paysage, avec au fond l'aiguille percée.

(ouioui, la montagne de la grande voie de l'article précédent)

Toujours pour le cadre, et parce que ca fait rêver du monde,

un des bouquetins pas farouche qui se promènent

au pied de la falaise de la Colombière.

Les forçats, et oui l'école c'est dur!!

Et là on peut aussi observer les belles cannelures.

Thibaut briffes Zac sur l'assurage avec le fameux autoblocant de Petzl.

Et aussi la moitié de Michel prêt à en découdre avec un 5b majeurissime.

Et voilà que la fin d'aprem est arrivé,

avec son beau couché de soleil dont on a pu profité à la montagne.

A noter, ceux qui ont l'oeuil pourront voir le bouquetin sur le flan de la montagne.

Bon d'accord, c'est assez pauvre en photos de grimpe pour ce coup ci,

mais c'est qu'a un nombre pair on a tendance a plutôt essayer de beaucoup grimper,

surtout sur un après midi.

pointe percée le 15 septembre

Initiation pour Gabriel, de la part de Thibaut, au massif des aravis.

Départ de l'école à midi pour le col des annes,

un petit casse croute pour se mettre en jambe et c'est parti.

Et c'est d'ailleurs parti beaucoup trop vite,

Gabriel suis le guide tant bien que mal,

jusqu'à ce que le guide lui aussi trouve que c'est parti trop vite.

Voilà donc une photo de Thibaut marchant,

une fois que Gabriel à réussi pour un court instant

à prendre suffisamment d'avance.

Après une petite heure de marche jusqu'au refuge,

un bon quart d'heure après le refuge,

et de nombreuses pérégrinations au pied de la face pour trouver la voie,

nous voilà partis.

Et puis en fait arrivés en haut de la deuxième longueur

on est sur qu'on n'est pas dans la bonne voie,

donc on continue.

Et on a surement bien fait, quelques photo de Thibaut dans cette belle longueur,

une fissure déversante probablement en 7a+.

(là on peut observer une grimace, comme quoi ca force!)

Encore Thibaut, dans la dernière longueur cette fois.

Les oiseaux ont peut être entendu dire qu'on ne savait pas dans quelle voie on était.

Et bin voilà, on est malgré tout rentrés saints et saufs.

Et après un petit coup od'euil sur le web il semblerait qu'on ait fait "sorry angel".

Et du coup on retournera faire "Zauberberg" une autre fois,

et on aura découvert une bien belle voie même si c'est un peu par hazard.

Rainbow rocket

Voilà les séquences de "Rainbow rocket" pour compléter l'article sur bleau,

le logiciel ne fonctionne toujours pas comme il faut,

mais heureusement le cerveau humain peut être plus fort.

Bast.

Hug.

bloc à fontainebleau fin aout

Les blocs de fontainebleau font partis des choses à ne pas manquer dans la vie d'un grimpeur,

qui plus est français.

On a entendu ça tellement de fois qu'il fallait aller voir, et bien on l'a fait!

Bon on a aussi entendu à moult reprises que quand il fait chaud ça ne colle pas et que donc les blocs sont autrement plus durs, mais quoi qu'il en soit c'est décidé on va voir ça.

Bilan on reviendra voir comment c'est quand ça colle.

Mais bon ce bilan est un peu hâtif, place aux photos.

Pour commencer, les trognes des protagonistes.

Hug.

Yanik.

Meg.

Bast.

(voilà ce qui arrive quand on fait le con pendant les portraits)

Il manque en effet un petit portrait de Gab,

mais l'animal ne maîtrisant pas l'autoportrait ne s'est pas photographié.

Meg dans un 6A,

qui n'a malheureusement pas fait pour elle si je ne m'abuse.

Serge sur une bien belle arête.

De nouveau Meg, de nouveau 6A, mais je crois que ça a fait cette fois.

N'oublions pas l'instant artistique, l'arbre donc,

avec en fond Yanik dans un départ sauté en 6B.

Hug dans une esthétique fissure en 6C.

(faut la serrer quand même la fissure)

Le portrait qu'on avait oublié au fond d'un tiroir.

Con de chien.

De nouveau Hug, dans un passage un peu plus facile,

un peu d'équilibre....

...Puis une grand mouv.

Gab s'essaye au 7A de "jet 7" avec la casquette qui donne la classe.

Ce sera sans succès au dernier mouv.

Pareil, d'un autre angle, et sans la casquette.

Attentions âmes sensibles, nous arrivons au moment fort du séjour,

les deux grands dadets se sont mis en caleçon

et ont torché en environ 15 minutes le 8A jeté mythique de "rainbow rocket".

Une incompétence de photoshop fera que vous n'aurez pas de beaux montages des sequences.

Bast à l'oeuvre, deux fois.

Puis Hug avec une autre méthode, deux fois aussi.

Gab, ce n'est pas une légende, il y a des plats à bleau.

Et voilà.

Ah oui, le vrai bilan : -Bin comme prévu il a fait un peu trop chaud pour grimper.

-On a grimpé quand même.

-On a bu pas mal de bière, et même un peu de pinard.

-Le cailloux est démentiel.

-Il y a énormément de monde à renctontrer.

-Des bleausards tellement amoureux et tellement sympa qu'ils voudraient te faire découvrir l'ensemble de la foret en un quart d'heure.

-Des gars plutôt étranges dans les bars, et des djeuns bourrés sur les parkings.

Faudra y retourner, et pour le chauvinisme, VIVE LA FRANCE et tous ses spots de grimpe.