lundi 27 août 2012

Grimpe à Tournoux fin aout

Après deux jours de bourrinage à l'état pur dans la falaise d'Entraygues, place à un petit jour de repos. Et ensuite direction le calcaire de Tournoux, autre falaise du côté de l'Argentière bien adaptée à la canicule.
Encore des déboires avec l'appareil photo, l'autofocus nous fait des siennes, ce sera donc plus ou moins flou.
Quelques photos quand même du secteur Loup Hurlant, à noter que le secteur et sa vue sont vraiment classes. Le petit point noir est le renforçage et le bricolage à l'état pur de bon nombre de prises dans le bas des voies, heureusement la suite propose souvent de bien belles envolées.


Jérémy dans le très déversant "into the wild", 7b+.



Toujours  Jérémy, dans la sortie de la même voie.
Bien moins déversante et plus facile que le début.


Vincent dans la belle envolée de "cost of freedom", 8a.
Ce sera un peu dur pour cette fois, une raison de plus de revenir.



Pour finir, quelques photos d'Héloïse dans le début bien déversant du même "into the wild", une belle croix en attendant la prochaine.

Ca balance.


Ca délaye.


Et ça force.


C'est fini pour cette fois, en espérant que la prochaine fois l'autofocus sera plus coopérant.

lundi 20 août 2012

Vacances presque en Suisse

Vacances en France avec des suisses, et bin c'est pas triste.
Peu de photos du fait que les suisses grimpent exclusivement en moule et que par conséquent ça ne rend pas très bien.

Une des premières étapes, deep water à la Ciotat.

3 photos de guillaume à l'oeuvre au dessus de la mer.




Le lendemain, session dans la chaleur des boyaux du Grenier, dans l'arrière pays toulonnais.
Arnochon dans un 7a.


Lancé de dégaine pour Guillaume, pour éviter de porter trop de poids dans "ombre et lumière", 8a.


Ensuite petite étape dans le gymnase de Canne, Déversé.

La falaise au mille dégaines.


Et puis parmis la suite de nos aventures, on a trouvé sur le bord de la route un cantalou, qui quant à lui grimpe en tête.
Vincent dans "chaque heure et chaque jour", 7b+ du Rocher Baron.

Peu de bavardage par manque de temps, car on n'est encore qu'entre deux escapades.


vendredi 3 août 2012

Grimpe au verdon

Après avoir travailler un peu, et un petit séjour Briançonnais peu fructueux en terme de photos, c'est parti pour quelques jours au Verdon.
C'est toujours aussi majeur le Verdon, et bien qu'il fasse un peu chaud on se débrouille pour grimper à l'ombre, c'est parfait en grande voie et un peu trop chaud pour faire de la couenne.

Première journée on se dirige donc vers "vieille connasse", une voie pas trop dure pour voir ce que ça donne. Du coup c'est tranquille, la voie est visiblement peu parcourue, et les longueurs sont toutes belles.
A noter que l'on peut redescendre à pied, arrivé au dernier relais des mains courantes mènent au secteur Hulk.
Et comme ça ne suffit pas, on se décide à aller voir la fameuse "l'ange en décomposition", bon c'est un échec critique, on part dans les rappels là ou le nom de la voie est marqué, sans se poser plus de questions, et on se retrouve dans une autre voie. Du coup on a fait "Rêves de fer", et c'est classe. L'équipement est un peu spécial quand même, des spits bien vieux, et c'est beaucoup équipé quand c'est facile mais beaucoup moins quand ça devient un peu plus dur.

Thibaut dans L1 de "Rêves de fer".


Les fameux spits, à un relais.
Le soleil se couche et la lune se lève.


Le lendemain c'est parti pour une voie un peu plus dure, la fameuse "Alix punk de vergon".
On se lève pas trop tard pour ne pas prendre le soleil, qui arrive à 15h dans le haut de la voie, et du coup on est larges au final. A noter que la voie est majeure, rien n'est à jeter et l'ambiance est là.

Thibaut dans L3 de "alix punk".


Et vu qu'on n'allait quand même pas s'arrêter là, on a aussi fait "tandem pour une évidence", c'est un peu moins une voie d'été, mais en partant à 10h30 dans la voie on ne prend quasiment pas le soleil.
Les deux dernières longueurs sont bien longues et démentes, les trois d'en dessous suivent des fissures évidentes, le tout sur LE pilier qu'on voit d'en face. En bref un itinéraire évident qui vaut le coup.
On s'est garé au chalet de la Maline, ce qui nous a gratifié d'une petite rando de retour, mais ce n'est pas si sorcier, et probablement pas beaucoup plus long que de faire le tour en voiture.

Thibaut dans L1.


Toujours Thibaut, dans L5.


Toujours pas de photos de couenne, évidemment à deux c'est pas simple, mais ça devrait revenir, on l'espère en tout cas.